Je vois ce que je crois

Voici une nouvelle vidéo tournée avec Terres d'Amours

Au menu :

  • Une réflexion sur l’adage “je crois ce que je vois” qui en fait, sert souvent d’excuse pour ne pas croire mais qui, n’est pas appliqué rigoureusement.
  • À l’inverse “Je vois ce que je crois”, correspond à ce que chacun vit à son niveau de manière inattentionnelle.
  • Et si on le pratiquait de manière volontaire, si on en faisait un style de vie ! Cela impacterait beaucoup de chose.
  • Une chose est sûre, un changement de paradigme est nécessaire.
  • Découvrez le merveilleux sens du mot “repentance” et son formidable impact car une croyance limitante entraîne malheureusement une perception limitée.

 

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Cet article a 2 commentaires

  1. bruno

    VRAIMENT EXCELLENT, bravo Monsieur d’avoir un discours qui est en adéquation avec votre authenticité, de venir avec ce cheval de Troie, pour amener une vision profonde . Je reconnais ma soif de liberté ( L’angoisse est le vertige de la liberté, Sören Kierkegaard.) et aussi ma vie et comment Dieu m’a emmené là ou j’ai cru. « Le concret c’est ce que l’on croit et ce que l’on croit c’est ce que l’on crée »,. Si jamais on se rencontre, je sais que je passerais un excellent moment avec vous…

  2. Dams

    Et oui, et si on se tournait sur l’autre rive. Et si on croyait que ce que nous dictait parfois nos circonstances n’étaient qu’illusion et que ce que l’on croyait illusions étaient bien réel, plus réel que ce que l’on croyait. Encore une fois, en plein dans le mille. C’est rageant, déconcertant et tellement vrai. Un beau voyage au coeur de l’imagination restaurée, comme instrument des yeux du coeur pour donner vie dans la matière, la réception de ce qui était déjà là, sur cette autre rive de l’invisible, à porter de main et pourtant encore dans l’ombre jusqu’à ce la nuit se dissipe et que par l’imagination lorsqu’elle est inspirée, portée par Dieu, soit un outil d’une vue spirituelle retrouvée, guidant, bien réelle, prête à accoucher dans la matière de l’autre rive cette fois bien terrestre. Elle devient alors un outil puissant au service du surnaturel naturellement surnaturel. Mais sur quel rive nous trouvons nous? Encore un belle occasion de traverser sur l’autre rive pour venir ramener dans ce monde les promesses de notre Père. A consommer sans limite de croyances… Bien au delà de ce que nous croyons ou pouvons croire… A celui qui est en nous par sa grâce de faire mûrir en conscience ses richesses. Encore faudra t il abandonner les propres limites parfois que nous mettons, mais n’est ce pas encore une fois, une des facettes de porter à la croix ce qui doit mourir pour le laisser vivre pleinement. A consommer sans limite donc 😉